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Invité Invité
| Sujet: la folie des ananas Mer 26 Avr - 16:47 | |
| histoire à corriger - Spoiler:
1922. « Alfred ! Alphonse ! Vos grands-parents sont arrivés ! » Mon frère aîné me poussa pour qu'il court en premier jusqu'à la maison. Je n'avais jamais été un athlète hors pair. A chaque parti de cricket, je perdais lamentablement contre mon frère ainé. Mais c'était mon frère et on était soudé comme les doigts de la main. C'était mon modèle. Il était âgé de quatre ans de plus que moi. Aujourd'hui c'était son anniversaire. Il avait douze ans. L'âge d'être un homme comme disait si bien mon père et pour cela toute la famille était convié à un grand déjeuner. J'entrais dans la grande demeure familiale après mon frère aîné qui disait déjà bonjour à notre grand-père paternel. Mon grand-père paternel était un militaire reconnu. Il avait fait la guerre, comme mon père. Mais mon père lui, avait eu moins de chance. Il était revenu vivant mais avec une jambe raidie. Il marchait peu. On ne pouvait pas se plaindre, beaucoup de gens avait perdu un membre de leur famille, nous notre famille était toujours là, uni. « Tiens et voilà le petit gamin ! » Je fis une moue boudeuse alors que mon grand-père me donna une grande tape dans l'épaule qui me coupa le souffle. « Toujours aussi mauviette celui-là ! Faut manger ! C'est pas comme ça que tu gagneras une guerre ! » « Mais il y a pas la guerre grand-père. » « Il y a toujours une guerre quelque part tête de piaf ! » Fit-il avant d’entraîner Alfred dans le jardin pour lui montrer son cadeau d'anniversaire. « N'écoute pas ton grand-père Alphonse, la guerre elle est finie depuis huit ans, et jamais plus il n'y en aura. » Ma grand-mère me glissa une pièce de monnaie dans la main en me faisant un clin d’œil. Je regardais la pièce en argent en me disant que ma grand-mère avait raison. Grand-mère était la voix de la sagesse et n'avait jamais tort.
1929. J'étais assis sur un muret non loin de Alfred qui était en train de batifoler avec Grace. Il lui déclamait des poèmes à longueur de journées et ils jouaient ensemble comme des gamins. Elle riait d'un rire cristallin. J'aimais bien Grace. Elle était gentille avec moi. J'étais justement en train de lire un livre qu'elle m'avait ramené. C'était Vingt mille lieux sous les mers de Jules Verne. C'était en français et Grace m'apprenait cette langue qu'elle déclarait comme la plus belle langue du monde. Il fallait donc que je pratique ce nouveau domaine. Je n'étais pas fort comme Alfred, je n'étais pas aussi intelligent que lui et j'étais loin d'être courageux. Au contraire, dès que je voyais une guèpe, je partais en courant. Mon père clamait à la mère que j'étais un tire-au-flanc peureux et que je n'arriverai jamais à rien dans la vie. Moi, j'aimais les livres, mais pour mon père ce n'était pas quelque chose de bien. Mon père était devenu aigri. Plus les années passaient, plus sa blessure était douloureuse et plus il était méchant. J'étais rarement dans la maison quand il était là. Je préférais rester dans le jardin. « Alphonse ! Tu viens avec nous au bord de la rivière ?! » Je relevais la tête vers mon frère qui venait de m'adresser la parole. Je hochais la tête négativement. Je préférais rester à l'ombre pour lire tranquillement mon livre. Je passais mon après-midi à lire et le soir je rentrais pour le dîner. Grace était restée pour manger et c'est lors de ce dîner que mon frère fit son annonce. « Avec Grace, nous avons décidé de nous marier. » Ma mère pleura de joie et pour la première fois depuis longtemps, mon père esquissa un sourire. J'étais heureux pour mon frère mais aussi terriblement envieux. Il avait tout. J'avais quinze ans et jamais une fille ne s'était intéressé à moi. Décidément j'étais bien loin du prestige d'Alfred. Je commençais même à ressentir une pointe de jalousie naître en moi.
1939. La parole de ma grand-mère quand j'avais huit ans me revint à l'esprit. Pour une fois elle eut tort. L'Angleterre était rentrée en guerre au côté de la France envers l'Allemagne nazie d'Hitler. On avait reçu l'ordre avec mon frère de rejoindre les troupes anglaises. « Vous ferez attention, et vous écrirez régulièrement ! » Ma mère passa une main sur nos uniformes. Mon père ne disait rien, nous regardant d'un regard sévère et mon grand-père tapa Alfred dans le dos. « Pour lui je m'en fais pas, par contre pour l'autre... » Ma grand-mère le fit taire d'un regard. Mon estomac se noua. Je n'avais jamais été brave, j'aurai largement préféré être engagé pour faire autre chose que d'aller sur le front. Il était hors de question de déserter de peur d'être fusillé. J'avais peur. Mes traits de visage se crispèrent et on quitta la maison familiale. Alfred avait dit au revoir à Grace le matin ainsi qu'à son fils en bas âge, leur promettant de revenir assez vite. Je ne comprenais pas comment il ne pouvait pas avoir peur. « Ca va être l'aventure p'tit frère ! On sera rentré avant qu'on ait eu le temps de dire ouf ! » « Tu crois ? » Il me donna une tape sur l'épaule comme pour me réconforter avant qu'on aille rejoindre notre bataillon. Je ne savais pas encore que c'était la dernière fois que je voyais cette campagne anglaise, que jamais je ne reverrai notre maison familiale, que jamais je ne verrais de nouveau le sourire doux de maman et que jamais je ne sentirai de nouveau cette odeur de cookies aux pépites de chocolat que j'aimais tant, sortant juste du four. Ce que j'allais connaître serait pire que l'enfer et changerait ma vie à jamais.
Septembre 1941. J'avais froid. J'éternuais. C'était l'hiver et je grelottais dans les tranchées. Deux ans déjà. Je croyais qu'on allait rentrer rapidement, comme l'avait promis Alfred et enfin de compte on était toujours dans cette galère. J'avais vu des gens mourir sous mes yeux, je m'étais renfermé sur moi-même et mes nuits étaient ponctués d'éveil ou de cauchemars. Je voulais juste rentrer chez moi et retrouver la douceur de notre foyer. « Calloway et Calloway au rapport ! » On était que deux Calloway. Alfred et moi. On avait tous les deux survécus jusqu'à là. Je me levais péniblement de ma place, tentant de ne pas vaciller par un vertige. J'avais les yeux brûlant de fièvre. « Alphie qu'est ce que t'as ? » « Rien. Rien. » Il avait froncé les sourcils. Mon frère avait pris un sacré coup de vieux en deux ans. On aurait pas dit qu'il n'avait que trente ans. « J'ai besoin de vous pour aller en éclaireur. » Notre supérieur nous tendit une carte en nous montrant deux points. « Avec votre respect, je pense qu'Alphonse n'est pas en état d'assurer cette mission. » « Je vous ai demandé quelque chose Calloway ? Non, alors vous allez ramener vos fesses là-bas, revenir et me faire un rapport pour qu'on déploie un plan d'attaque ! Allez ! » Je ne savais pas si c'était la fièvre ou pas, mais je ne la sentais pas du tout cette mission. Alfred passa devant et je le suivais, il fallait déjà que l'on sorte des tranchées. On marchait depuis trois heures. J'avais froid, faim et j'avais juste envie de m'allonger quelque part. Le paysage était navrant, il y avait une odeur de mort dans l'air. Je tenais mon fusil alors que je sentais le poids de mon sac. J'entendais Alfred qui parlait devant mais je ne captais pas un mot. Je rêvais juste de notre douce province. Maman nous avait envoyé des biscuits en début de semaine, cela avait été une once de réconfort. Alfred s'arrêta d'un coup et je lui rentra dedans. « Qu'est ce... » « Chut. Tais-toi. » Un silence se fit et je restais sur le qui-vive. Si Alfred s'était arrêté c'était pour une bonne raison et juste pas pour pisser. « ATTACK ! » (Attaque!) Avant même que je compris ce qu'il se passe, nous étions entourés de soldats allemands. Je commençais à trembler de tout mon corps et ce n'était pas que la fièvre. Alfred leva ses bras, sachant très bien qu'on ne pourrait rien et je l'imitais. Je vis leur supérieur arriver et nous regarder tous les deux. Ils nous mirent à genoux. « Englisch als Schmutz ! » (Des saletés d'anglais!) « Was machen wir mit ihnen ? » (Qu'est-ce qu'on fait d'eux ?) « Alfred... » murmurais-je. Je ne comprenais rien à ce que l'ennemi disait. « Tais-toi. C'est pas le moment. » « Das Lied auf ihrer Position wird spucken machen. » (On va leur faire cracher le morceau sur leur position.) « Wir brauchen wirklich beides ? » (On a vraiment des deux?) Un sourire cruel vint se dessiner sur le visage de leur supérieur. Ma bouche devint sèche et pas parce que je n'avais pas bu depuis un moment. « Nein. Deaktivieren Sie das stärker, kehren die untere. Es wird abgefragt, und es wird wie eine schmutzige Ratte durchdringen. » (Non. Eliminez le plus fort, ramenez le plus faible. On l'interrogera et il crevera comme un sale rat.) Je le vis chopper mettre en joue mon frère. Non. Non. « NON NE FAITES PAS CA! » On m'avait relevé pour me faire avancer. Un bruit retentit et je vis mon frère mourir sous mes propres yeux. Ses yeux perdre de leur âme et son corps tomber sur le sol. « Lassen Sie den Körper hier verrotter. » (Laissez le corps ici, pourrir.) Je m'entendis crier le nom de mon frère puis, une douleur au niveau de la nuque et le noir complet.
Novembre 1941. Je crachais par terre, le souffle coupé. Cela durait depuis deux mois. Deux longs mois. Par moment je rêvais juste qu'ils m'achèvent. Qu'ils me tuent, comme on avait tué mon frère. Alfred. Je savais que je devais sortir d'ici, fuir. Vivre. Pour lui. Avoir une vengeance pour lui. Son visage, son âme en train de partir, tout me revint. Je restais sur le sol humide un moment. J'avais mal partout. J'avais saigné encore une fois. J'étais faible. Je ne mangeais quasiment pas. Pourtant j'avais une rage qui m'habitait. « Sprechen Sie schmutzigen Hund ! » (Parle sale chien !) C'était toujours cette même phrase. Phrase que je ne comprenais pas mais au ton je savais très bien que c'était un ordre et il était hors de question que je parle à ses ordures. Il fallait que je trouve un moyen de sortir d'ici. J'avais bien une idée, mais il fallait que ça marche. Peut-être que pour une fois les jeux de mon enfance allait marcher. Je restais à terre, ne bougeant plus d'un poil. Il fallait que je retienne ma respiration assez longtemps pour qu'ils comprennent. J'entendis des bruits de pas et je gardais les yeux ouverts, coupant ma respiration. « Scheiße ! Dieser englische Bastard ist tot ! » (Merde ! Ce batard d'anglais est mort!) « Warten Sie, wenn es es ist ein Trick ! » (Attends, si ça se trouve c'est une ruse ! » La grille s'ouvrit et un des allemands me donna des coups dans les côtes mais je ne broncha pas et je retins toujours ma respiration, ne cillant pas. Merci Alfred de m'avoir appris ce jeu débile. « Verdammt, du hast Recht! Balancieren Sie den Körper in den Wald neben und Blätter verrotten! Niemand wird ihn finden! » (Putain t'as raison ! Balance le corps dans la forêt à côté et laisse le pourrir ! Personne ne le retrouvera ! » L'autre me tira pour faire ce que son co'équipier avait dit. Dans la forêt j'attendis un petit moment avant de reprendre ma respiration. Persuadé d'être seul je respirais de grandes lampées d'air avant de regarder le ciel qui était bleu. Le soleil m'éblouissait. « Merci Alfred. » Murmurais-je avant de me redresser. Il ne fallait pas que je traîne. La forêt était dense. Je regardais mes mains, ensanglantées par de nombreuses heures de torture. Il fallait que je me barre. Je ne savais même pas si j'avais changé de pays. J'enlevais déjà mon haut d'uniforme pour rester en tee-shirt malgré le froid glacial. Je prendrais une veste au prochain village si je l'atteignais. J'enlevais ma chaîne militaire et j'enterrais le tout avant de marcher dans la forêt sur mes gardes. Plusieurs fois je me cachais de peur de tomber sur une troupe. J'atteignis un village à la nuit tombée. Un village silencieux. Les volets fermés, une ville fantôme. Un panneau annonça le nom de la ville. J'étais encore en France. Fort heureusement. La guerre avait laissé ici ses marques. Je trouvais une petite boutique, abandonnée et je cassa la vitre pour prendre des vêtements et me changer. J'allais me débarbouiller, je changea de chaussures et je continuais mon périple dans le village pour trouver à manger. Ce fut comme si les habitants avaient pris la fuite, laissant tout derrière eux. Je dormis sur une oreille et le lendemain je commençais mon périple. Je ne pouvais pas rester ici. Je ne pouvais pas rentrer en Angleterre et je me rappelais du nom d'une petite île.
1942. Cela faisait déjà plusieurs mois que j'étais ici. J'avais réussi à la rejoindre, par la sueur de mon front. Cela n'avait pas été simple, mais je m'étais présenté comme un simple citoyen anglais. Je n'avais pas parlé de mon passé militaire. Pour désertion je me ferai fusillé. J'avais trouvé un petit endroit pour dormir. Je n'avais pas écrit à mes parents. On devait leur avoir dit qu'Alfred et Alphonse étaient tout deux décédés lors d'une mission. Grace avait du pleurer longuement. J'étais assis tranquillement à contempler l'horizon. Je fermais les yeux mais comme à chaque fois la même image d'Alfred me revint à l'esprit. Mon estomac se tordit. Il aurait honte de moi. Honte d'avoir fui comme un lâche. « Alphonse ? Nous avons fini. » Je me redressa. Louisa m'attendait. J'étais au service de cette demoiselle comme garde du corps. Elle était issue d'une famille proche de la famille royale et devait être protégée pour toutes ses sorties. Elle était en compagnie de sa meilleure amie. Cette fille qui faisait doucement battre mon cœur. La première qui arrivait à le faire battre depuis tout ça. Personne ici ne savait mon passé. J'avais inventé une nouvelle vie : j'étais un anglais qui voulait parcourir le monde mais avec la guerre j'avais décidé de rester un temps ici et aussi on m'avait offert ce travail. Je parlais jamais de moi, j'avais peur un jour de craquer, alors je vivais avec ma souffrance seule. Je les raccompagnais au domicile de mademoiselle Rovere. « Vous aviez l'air pensif Alphonse, à quoi pensiez-vous ? » « A rien d'important. Un livre que j'ai lu quand j'étais plus jeune. Vingt mille lieux sous les mers. » En vérité je pensais à la guerre, à Alfred, à tout. J'avais toujours les flashs d'Alfred et cette douleur qui sommeillait dans mon corps. Je cachais les cicatrices à vue de tous. « Jules Verne ! J'aime cet auteur ! » Elle avait parlé, elle avait souri et mon cœur bondit dans ma poitrine. Je n'avais aucune chance pour avoir son cœur donc je préférais me taire et juste la regarder cela suffisait au peu de bonheur que j'avais le droit.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: la folie des ananas Mer 26 Avr - 17:02 | |
| nom complet Delacroix, Eugénie. naissance un mois de janvier en 1915 à Paris en France. origines et nationalité Franco-anglaise. Elle est française mais sa mère est anglaise. statut civil, orientation au choix. statut social, familial Eugénie est issue d'une famille légèrement aisée. Elle est la cadette de la famille Delacroix. métier, argent au choix. famille aisée. particularités Eugénie a une cicatrice au niveau de sa main droite. Souvenir des effronteries avec les enfants Calloway quand elle était petite. traits de caractère bûtée - franche - souriante - curieuse voir fouineuse - respectueuse - joueuse - joviale - maligne.
Eugénie est la cadette de la famille Delacroix, une fille que longtemps sa mère a espéré. Sa famille était issu de la classe moyenne mais a réussi à prospérer dans l'import-export du commerce textile il y a sept ans. Elle a vécu avec sa famille durant treize ans en Angleterre, dans le même comté que la famille Calloway. Elle a connu les enfants Calloway et étaient très proches d'eux, comme ses frères. Ils étaient tous inséparables mais le travail de son père les a emmené à déménagé sur Asteria au début de son quatorzième anniversaire. C'est sur cette petite île que son père a mis plusieurs années avant de faire fortune. Maintenant, elle fait partie d'une des familles les plus aisées de l'île. Au début de leur séparation, les Calloway et les Delacroix se sont écrits beaucoup de lettres avant que cela ne s'espace avec le temps. Eugénie est une tête brûlée qui n'a pas peur d'aller au delà de la bienséance. Elle a bien du mal à se tenir comme la petite fille parfaite de la famille Delacroix, au contraire elle n'a pas sa langue dans sa poche et ses parents désespèrent à lui trouver un bon parti en tant que mari tellement qu'elle est réputée comme une jeune femme effrontée. only one road you can go down because otherwise all of it, everything, is gone. eugénie delacroix ft. emma stone ~ libreAlphonse Calloway feat taron egerton.ami d'enfance et de la famille.Les enfants Delacroix et Calloway ont partagé beaucoup de choses. Se connaissant depuis qu'ils sont haut comme trois pommes, il n'était pas rare de les voir tous les dimanches après-midi jouer dans le jardin d'une famille ou de l'autre. Eugénie et Alphonse ont tissé ce lien de complicité si rare entre une fille et un garçon à l'époque. Alphonse pas forcément fort comme son frère ou les garçons Delacroix préférait la douce compagnie d'Eugénie. Ainsi, il jouait beaucoup à la dînette avec elle au grand désespoir de son père. Ils ont été proches jusqu'au départ de la famille Delacroix pour une autre province, lointaine. Pendant des années ils se sont écrits des lettres, et puis avec le temps, cela s'est espacé. A présent, Alphonse a atterri sur cette île pensant y trouver un refuge, que la guerre s'arrête avant d'aller faire sa vie ailleurs. Il a déserté sa section, sa patrie et il sait que s'il rentre c'est la peine de mort qui l'attend pour désertion. Alors, il s'est mis une nouvelle identité en tête. Ce qu'il ne sait pas, c'est que c'est sur cette île que les Delacroix ont décidé de faire leur vie il y a treize ans, après leur départ de l'Angleterre. Eugénie l'a déjà croisé dans la rue. Sur le coup elle a cru à une illusion, pourtant les traits de ce jeune homme ressemble étrangement à ceux d'Alphonse. Il semblerait que le secret d'Alphonse ne tient qu'à un fil. - MES PRÉFÉRENCES.:
écrire ici.
Dernière édition par Alphonse Calloway le Dim 30 Avr - 11:55, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: la folie des ananas Ven 28 Avr - 12:55 | |
| citation comme vous voulez ici.
Alphonse Calloway 28 ans ~ célibataire ~ pacifistnom complet Calloway. Un nom de famille de classe moyenne. Le nom d'un grand colonel de guerre, le nom d'un soldat grièvement blessé, le nom d'un soldat mort, le nom d'un soldat en fuite. Alphonse. Le nom de son grand-père, mais on lui a fait souvent remarqué qu'il n'en avait pas la trempe pour le porter. Son deuxième prénom est Eugène. date et lieu de naissance Il est né le 9 décembre 1914. Année fatidique dans l'histoire, son père absent aux côtés de sa mère. Il est né dans la maison familiale à Brixham en Angleterre. origines et nationalité Il est anglais mais sa mère à des origines françaises du côté de sa mère, ce qui explique ses prénoms français. statut civil, orientation sexuelleIl a toujours aimé les femmes. Il les a toujours trouvé jolies mais n'a jamais su réellement leur parler. C'est sans doute pour ça qu'il est encore un éternel célibataire. Pourtant, ici, une jolie jeune femme lui fait battre son coeur un peu plus vite que la moyenne. statut social, familial Au niveau matrimonial, il est célibataire. Au niveau de sa famille: il est le deuxième et dernier enfant des parents Calloway. Alphonse l'éternel deuxième qui n'a jamais été à la hauteur de son frère Alfred. A présent il est fils unique, son frère a été tué sous ses yeux et aujourd'hui encore il en fait des cauchemars et culpabilisent. Pour ses parents, leurs deux fils sont morts. Alphonse n'a jamais été retrouvé et le principal intéressé ne veut pas rentrer chez lui. Il sait que sa désertion lui entraînera la mort. métier, argent Avant d'être engagé dans l'armée britannique, il était instituteur. Il aimait son métier et la guerre a tout changé. Aujourd'hui, il est soldat en désertion devenu garde du corps pour Louisa Rovere. traits de caractère écrire ici.
que pensez-vous de la position de l'île face à la guerre ?en vous remerciant de développer un minimum votre réponse. comment la guerre a-t-elle affecté votre vie ?en vous remerciant de développer un minimum votre réponse.
my heart still beating. C'est dans cette partie que vous allez écrire l'histoire de votre personnage, dans un minimum de 300 mots. Sur why we fight, nous avons décidé de la laisser facultative. Cependant, si vous choisissez de ne pas la faire, nous vous demandons de la remplacer par un minimum de 10 anecdotes bien développées à écrire dans cette partie. Libre à vous de déplacer ce cadre dans un second post à la suite ou non.- COME AHEAD.:
pseudo, prénom écrire ici. âge, pays écrire ici. avatar écrire ici. type de personnage scénario, prélien, inventé. ce que tu penses du wwf écrire ici. crédits © image + citation.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: la folie des ananas Dim 30 Avr - 12:04 | |
| nom complet Rosier, Arthur. naissance au choix. origines et nationalité au choix. statut civil, orientation au choix. statut social, familial Je le voyais bien orphelin qui aurait perdu ses parents vers l'âge de huit-dix ans. Vous pouvez lui faire des frères et soeurs. métier, argent au choix, modeste. particularités au choix. traits de caractère chapardeur - indépendant - séducteur - méfiant - curieux - athlétique - débrouillard - le cœur sur la main.
Arthur a toujours été un enfant des rues. Déjà quand il était tout gamin, il passait son temps à jouer avec un vieux ballon avec les enfants du quartier. Ils faisaient les quatre cents coups. Sa famille n'avait pas beaucoup d'argent mais il était heureux comme ça. Son oncle préféré est décédé lors de la Première Guerre Mondiale et il l'a toujours vu comme un modèle. Il s'est dis qu'il était un héros et que plus tard lui aussi il serait un héros. Ses parents sont morts de maladie quand il avait dix ans, pendant un des hiver les plus rudes qu'ils aient vécu. Il s'est retrouvé (avec ses frères et sœurs s'il en a) a devoir subvenir à ses propres besoins. Vendeur de bougies, aide chez le boucher, il a tout fait pour ramasser quelques pièces. En grandissant il a su encore plus se débrouiller en volant par-ci par -là sans jamais se faire prendre. Aujourd'hui, il a décidé de prendre sous son aile un ''voyageur égaré'' du nom d'Alphonse sur son toit un peu misérable. Avec deux qui ramènent de l'argent cela lui permettra de mieux vivre. Pour le moment c'est un peu tendu entre les garçons car Arthur sent le mensonge à plein nez. On ne lui l'a fait pas : Alphonse il est pas un mec qui voyage juste, il sent bien qu'il y a autre chose. Pourtant il ne peut s'empêcher de s'attacher un peu à lui, le voyant paumé il se rappelle de lui-même des années plus tôt. Lui, ce qu'il attend particulièrement c'est que l'île envoie ses soldats aider les soldats français et britannique, car il l'a toujours dit : il veut devenir un héros de guerre lui aussi. only one road you can go down because otherwise all of it, everything, is gone. arthur rosier ft. sam claflin ~ libreAlphonse Calloway feat taron egerton.le petit protégé.uc - MES PRÉFÉRENCES.:
écrire ici.
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| Sujet: Re: la folie des ananas | |
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