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| Sujet: - pré-liens de delia rossi (1/1) Jeu 1 Mar - 19:41 | |
| The american you desired my attention but denied my affections
(♂) clive, trente/trente-cinq ans, célibataire, divorcé ou veuf, écrivain. [libre] - richard madden (+), sam claflin, max irons, michiel huisman, charlie hunnam, daniel sharman, hunter parrish, luke mitchell.
- extrait de ma fiche:
Delia. Quand il murmure son nom, c'est tout son être qui frémit. Delia. Dans la nuit noir de Téhéran, elle sent son souffle sur sa peau, lointain, endormi. Il a de l'allure, l'américain, même lorsque la chaleur d'une nuit d'été fait bouillonner ses muscles. Elle n'aurait jamais du lui accorder ses faveurs, l'italienne, mais c'est comme si l'ombre de Clive la suivait de ville en ville. Comme s'il la cherchait. La trouvait. Si elle aimait les mots qui sortaient de sa bouche, la poésie de ses écrits, la rugosité de ses mains, elle détestait la persistance de son regard, les sous-entendus dans ses propos. Comme s'il voulait tout savoir d'elle alors qu'elle ne voulait rien savoir de lui. S'attacher serait futile. Bientôt, il terminerait son histoire. Bientôt, il passerait à autre chose ; une autre ville, une autre vie, une autre femme. Elle même ne savait pas combien de temps il lui restait ici. Sa mission était claire, et une fois qu'elle aurait le cliché escompté, qui sait où elle s'envolerait. Loin de lui. Loin de la terre volatile de ce pays, loin de ses mirages, loin de ses trésors. Alors, Delia lui avait accordé cette nuit, comme un ultime cadeau. Le lendemain, elle s'envolerait pour New York, business oblige. Comme les rares autres nuits qu'ils avaient passé ensemble, Clive se réveillerait sur un amas de draps froissés. L’adonis ne lui avait jamais demandé de rester ; il connaissait la réponse. Son indépendance lui était chère. Il n'essayait pas de la dompter ; juste de l'apprivoiser assez pour l'approcher sans peur d'un coup fatal. Parce que lui est le genre d'homme à croire au destin, et que ce foutu destin continue de mettre la brune sur sa route. Qu'elle le désarme, le chamboule, le fascine. Qu'il n'a pas le choix. Qu'il doit la voir, la revoir, lui parler, la toucher, encore. Même s'il sait qu'elle a raison, que leur histoire n'a rien de raisonnable, qu'il est le seul à bien vouloir l'appeler histoire, qu'ils n'ont probablement rien à faire ensemble. Oui, seulement, lui, il manque d'air, sans elle. C'est aussi simple que ça.
Clive, c'est l'américain qui la chamboule, bien qu'elle refuse de l'admettre. Il prépare un livre dont l'action se passe au Moyen Orient, d'où leur présence commune dans quelques villes comme Téhéran. Ils se sont croisés pour la première fois il y a un an et demi et depuis, c'est une quête constante pour lui de quelques instants, jamais assez, avec elle. Il a du mal à la cerner ; elle s'offusque pour beaucoup, le repousse, le contredit, l'engueule, mais fini par lui admettre tout le talent de l'univers lorsqu'il lui lit la suite de son histoire au détour d'un verre. Non, il ne sait pas si cette pseudo histoire peut avoir la moindre existence en dehors du chaos des horizons ravagés, mais il doit essayer. Alors il tente sa chance en débarquant dans sa ville. Elle ne pourra pas l'éviter longtemps. - COME AHEAD.:
j'veux du luve le pseudo est totalement négociable, la nationalité aussi - faut juste pas qu'il soit italien. Clive, il est complexe, mystérieux, il aime les mots, les belles choses, les belles courbes, les jolies femmes. Et entre lui et Delia, c'est une passion déraisonnable. Bref vous comprenez. Je préfère la qualité à la quantité, je ne rp pas tout les jours donc je ne ne vous demande pas de nombre de posts minimum, ah et je préfère ceux qui écrivent à la première ou troisième personne. Puis... bah... voilà
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